Tag: Elisabeth Recurt

No. 90 — Sandra Volny, Karen Trask & Gabo Champagne

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Entrevue

Nous parlons avec l’artiste sonore Sandra Volny.

Vous pouvez en apprendre davantage sur la pratique de Sandra Volny grâce à son site Internet.

Vous pouvez réécouter l’émission No. 66 — 25 novembre 2019 pour en apprendre davantage sur l’exposition Les nouveaux états où Sandra Volny présentait son œuvre In-ouïe. Sonja Zlatanova parlait avec la commissaire Aseman Sabet et le professeur Vincent Couture.

Chroniques

Une chronique d’Élisabeth Recurt sur le texte au cœur de pratiques en arts visuels. Cette semaine, elle reçoit l’artiste Karen Trask

Vous pouvez en apprendre davantage sur la pratique de Karen Trask grâce à son site Internet ou sur celui de Produit rien.

Voici des images d’œuvres mentionnées lors de l’entretien.

Question d’Élisabeth Recurt à Karen Trask… (qui n’a pas trouvé de place dans notre entrevue avec l’artiste….) On laisse ici l’artiste y répondre en citant un passage de son livre d’artiste « Riens », passage écrit en 2008 à Paris :

E. R. : Karen, tu t’es intéressée à la construction graphique de la poésie de Mallarmé dans laquelle les blancs sont aussi significatifs que les mots imprimés. Tu as exposé des moulages, donc des formes laissées par un vide. Est-ce que ces œuvres font partie de la tentative de donner au vide une consistance aussi forte que le plein?

Paris, octobre 2008 
La poésie de Stéphane Mallarmé fait partie de ce qui m’a poussée à séjourner à Paris. Surnommé le « poète du néant » par Jean-Paul Sartre, il a influencé la façon de voir les mots et les espaces entourant les mots de plusieurs générations d’artistes. Lorsque je visitais sa maison de campagne à Vulaines-sur-Seine, j’ai appris que nous avions vécu une expérience similaire. La mère de Mallarmé est décédée lorsqu’il avait sept ans. Lui et sa sœur ont été élevés par leur grand-mère, une femme qui les aimait profondément. Mais ce qui m’étonne surtout, c’est le trou dans les marches en pierre de sa porte d’entrée. Comme en témoignent les photos dans le musée, ce trou était présent lors de son vivant. Conséquemment,lorsqu’il séjournait là-bas, il passait par-dessus ce trou plusieurs fois par jour. J’imagine un vide blanc et un vide noir, et parfois ils s’entremêlent. Ils sont tous deux puissants, mais le vide blanc est silence et absence, tandis que le vide noir est issu du vide blanc ou s’y retrouve en quelque sorte. Le vide noir peut être séduisant et hypnotique; c’est l’amour de l’absence, c’est la dépendance et la mort. Les deux sont là. Les deux sont constamment partout, autour et à l’intérieur de nous. Parfois plus grands, bruyants; parfois plus petits, silencieux. Le vide. Chaque jour enjambé, caché, rempli, évité, nié. La plupart du temps, nous n’aimons pas ce soupçon de vide, ce sentiment vacillant de DÉNI. Pas normal, pas occupé, pas quelque chose, pas quelqu’un, pas souriant, pas content, pas ici. S’il vous plaît, non, PAS ici, pas maintenant. Ma mère est un blanc luminescent et brillant. Le vide de Mallarmé est blanc. Son poème le plus influent est un de ses derniers. Publié à titre posthume, Un coup de dés a brisé toutes les conventions des textes imprimés. Les espaces vides sont reconnus dans la typographie et l’espacement entre les mots sur la page; dans le placement des mots, il faut lire cet espace blanc qui relie les mots. Mallarmé aimait les mots et choisissait souvent d’utiliser des significations anciennes et hors usage pour créer une œuvre dense et obscure où la sonorité et la beauté des mots ont préséance sur les idées et leurs significations, ce qui, selon lui, devait être à peine suggéré et révélé en lisant entre les lignes. Des constellations et des naufrages sont évoqués comme métaphores pour des mots et des idées issus de rien; un néant qui, selon lui, se trouvait tout juste au-delà de cette réalité. De là, les artistes révèlent l’essence des formes parfaites. Et c’est là que je me détache. Je ne sais pas s’il existe une essence du rien au-delà de ce que j’imagine, et je ne crois pas à une forme parfaite…

Vous pouvez en apprendre davantage, et voir une image du trou dans les marches d’entrée, sur le blogue de Karen Trask.

Commissariat musical

Le commissariat musical cette semaine est assuré par Gabo Champagne.

Gabo Champagne est un.e artiste multidisciplinaire œuvrant dans les milieux du théâtre, de l’art performance, de la danse et de la musique sur la scène montréalaise. Ayant poursuivi des études en danse, en théâtre et en musique, ses premiers pas dans le milieu professionnel se sont faits en tant que codirectrix artistique d’un collectif théâtral interdisciplinaire. Avec le groupe, ul signa trois créations indépendantes dont l’une fut présentée en tournée en Europe, organisa une trentaine d’événements mettant en vedette des artistes de la relève et se forma auprès de divers groupes reconnus, dont l’Odin Teatret. Souhaitant approfondir sa démarche musicale, ul se lança dans des études en composition instrumentale à l’Université de Montréal avec Ana Sokolovic et Denis Gougeon. Loin de laisser de côté ses anciennes amours, ul resta actis dans ses autres champs de pratique, tant à travers des collaborations que par le biais d’organisation d’événements artistiques. À l’été 2016, dans le but de parfaire tous ses domaines de prédilection, Gabo alla au Japon étudier la musique gagaku, le théâtre noh et la danse butoh auprès de six institutions culturelles nipponnes. Ul poursuit dorénavant une carrière plus centrée sur la composition de musique de par la nature de ses études universitaires. Ainsi, sa musique fut interprétée lors du Bozzini Lab, du LMCML, du WRMCS, au Banff Center for the Arts, en plus de commandes d’œuvres au Canada, aux États-Unis et à Singapour. Gabo est maintenant étudians à la maîtrise en composition et création sonore auprès de Pierre Michaud. Ses futurs projets incluent un opéra de chambre, un cycle de pièces pour instruments solos inspiré des Sequenza et une pièce de musique in situ qui sera interprétée à Darmstadt à l’été 2020.

Koto-uta
Interprète : Kyoko Kawamura
Compositeur : Toshio Hosokawa
Album : Hosokawa: Koto-uta, Voyage I, Saxophone Concerto & Ferne Landschaft II
Maison de disque : Kairos
Année : 1995

Manzairaku derute
Tokyo Gakuso
Album : Gagaku – Court Music of Japan
Maison de disque : JVC ‎– VICG-5354
Année: 1994

Gérard
Compositrix : Gabo Champagne
Pièce pour flûtes, deux clarinettes, saxophones, piano, percussions et électroniques, interprétée au Waterloo Region Contemporary Music Sessions (WRCMS)
Année: 2018

No. 88 — Céline Huyghebaert, Camille Turner, Marie Pier Théberge & Alex Pelchat

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Chroniques

Une chronique d’Élisabeth Recurt sur le texte au cœur de pratiques en arts visuels. Céline Huyghebaert a été invitée à parler du texte dans sa pratique lors de cette chronique.

Vous pouvez en apprendre davantage sur le travail de Céline Huyghebaert sur son site Internet.

Vous pouvez écouter l’entrevue de Céline Huyghebaert à la chronique d’Artexte lors de notre émission No. 82 le 13 avril 2020.

Voici des images d’œuvres mentionnées lors de l’entretien.

Artexte, Dégustation de la collection
Hélène Brousseau présente le dossier d’artiste de Camille Turner et une conversation avec Joana Joachim au sujet du Afronautic Research Lab.

Vous pouvez écouter une version longue de cet entretien sur le Mixcloud de Artexte.

Vous pouvez en apprendre davantage sur la pratique de Camille Turner grâce à son site Internet. 

L’article « Après Arts Against Postracialism » de Artexte pourrait aussi vous intéresser, où Dr. Philip S. S. Howard était aussi invité à discuter du projet itinérant Arts Against Postracialism.

Nous vous invitons aussi à consulter le site Internet de Joana Joachim

Marie Kolb, Questions praxiques
Marie Pier Théberge a été rencontrée pour discuter de sa pratique.

Vous pouvez en apprendre davantage sur cette artiste, sur son site Internet.

Commissariat musical

Alex Pelchat a fait le commissariat musical cette semaine sous la thématique de l’hommage explicite.

« Je suis né à Shawinigan-Sud dans les années 80 (presque 90) et je joue de la guitare depuis la 3e année du primaire. Je joue au sein de divers groupes de musique à Montréal dont l’Ensemble Habitant et BUM, en plus d’organiser des concerts de musique expérimentale et d’être impliqué comme organisateur syndical et communautaire. Influences incluant, mais non limitées à: Keiji Haino, Albert Ayler, Kris Kristofferson et Kim Gordon.

Plusieurs projets en chantier pour 2020, dont l’enregistrement d’albums et le possible début d’un label indépendant. Plusieurs de mes parutions avec divers groupes sont trouvables sur cuchabatarecords.bandcamp.com du label montréalais Cuchabata Records.

 Smilebag
Alex Pelchat
Album : Canada
Année : 2015

La pièce choisie parmi mes sorties est « Smilebag » de l’album Canada, un album enregistré à la maison avec les moyens du bord, un vieux téléphone qui enregistre mal et l’acoustique fancy de la cuisine. J’ai enregistré le tout après avoir passé les vacances dans plusieurs états américains. À l’époque, je tournais beaucoup avec divers projets et j’avais partagé la scène au Rhodes Island avec un groupe ahurissant de noise punk assemblé « sur le tas » qui n’a joué que quelques spectacles sous le nom « Smilebag ». Smilebag était un groupe typique de l’underground américain : spontané, créatif et désorganisé de la meilleure façon. Les trois filles du groupe jouaient du punk sans vernis ni finition et la guitariste mettait des cuillères entre ses cordes. J’ai donc enregistré la pièce « Smilebag » avec des cuillères et des fourchettes en leur honneur et je voulais définitivement leur dédier la pièce. 7 des 16 pièces de l’album sont dédiées à des artistes d’ailleurs et d’ici.

J’aimerais cela que les artistes qui m’entourent prennent le temps de démontrer plus d’admiration et même d’affection pour les artistes avec qui ils passent du temps. Il y a une gêne mal placée pour parler de l’admiration que l’on ressent pour nos pairs. Il me semble que la « toponymie » des créations musicales en musique avant- garde et en création expérimentale est souvent abstraite. Je voudrais que l’on devienne de plus en plus habitués à dédier des œuvres aux gens qui nous entourent, mais aussi à nos idoles et nos modèles lointains. 

Mori Ikue
John Zorn
Album : Classic Guide to Strategy Volume 2
Année : 1985

La première pièce sélectionnée est « Mori Ikue » de John Zorn paru sur l’album Classic Guide to Strategy Volume 2 en 1985. J’ai choisi cette pièce, car je considère que John Zorn est l’artiste qui a possiblement le plus de compositions, d’albums et de concerts dédiés à honorer des personnes importantes pour lui. Il est donc un « tenant » de l’hommage explicite. Son album Classic Guide 2 est un des meilleurs albums jamais parus par ailleurs et la pièce choisie rend hommage à une grande artiste américaine. 

Bessie Jones
Moor Mother
Album : Manufacture of Indigo
Année : 2015

La deuxième pièce sélectionnée est « Bessie Jones » de Moor Mother, paru sur l’album Manufacture of Indigo. Moor Mother est un projet solo de l’artiste Camae Ayewa de Philadelphie qui réunit noise, hip-hop et musique industrielle. Son œuvre est complètement électrique et l’album Manufacture of Indigo est une partie plus « posée » de sa discographie, avec beaucoup d’échantillonnages. Ici, Ayewa sample la légende afro-américaine Bessie Jones et lui dédie le nom de la pièce. 

No. 74 — 17 février 2020

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Exergue

Rita Wong, “There is no away” Decolonization: Indigeneity, Education & Society

Vous pouvez aider le camp Unist’ot’en de la nation Wet’suwet’en en suivant ce lien.

Entrevue

Nous parlons avec Philippe Allard de sa pratique en art public et sa monographie publiée au centre Sagamie.

Vous pouvez visiter le site Internet de Philippe Allard pour en apprendre davantage sur ses projets.

Vous pouvez en apprendre davantage sur la monographie de Philippe Allard, Accumulations, grâce au site Internet du centre Sagamie. 

Chroniques

Pour la chronique d’Artexte, nous recevons Roxane Heer-Desrochers, Assistante à la collection, qui nous parle d’art textile.  Nous avons parlé des artistes Barb Hunt, Willow Rector et de Barbara Todd.

Dans le cadre de ses chroniques sur les démarches chorégraphiques, Élisabeth Recurt discute avec Clara Furey de sa démarche artistique.

Vous pouvez en apprendre davantage sur la pratique de Clara Furey sur son site Internet.

Commissariat musical

Le commissariat est présenté par Émilie Fortin

Yann Maresz
Interprètes : Clément Saunier (trompette)
Année : 1995

VOID
John Mallia
Interprètes : Laura Thompson (violon) et Émilie Fortin (trompette)
Année : 2018

For Organ and Brass
Ellen Arkbro
Interprètes : Zinc & Copper, Elena Kakaliagou (cor), Hilary Jeffery (trombone), Robin Hayward (tuba) et Johan Graden (orgue)
Année : 2016

Vous pouvez voir Émilie Fortin en concert à l’Espace OSM lors de la Nuit Blanche le 29 février prochain (trois performances, l’une avant le concert de l’OSM, l’autre après, et l’autre vers minuit et demi – 45 minutes chaque) avec Bakarlari (je vais jouer Laki, d’Olga Neuwirth).-Concert à Toronto le 1er mars avec Bakarlari à The Music Gallery dans le cadre de la série Emergents II – création de Passages, d’Alexandre David, pour trompette et électronique, et perfo de Laki encore.

Elle sera aussi en concert à Toronto le 1er mars avec Bakarlari à The Music Gallery dans le cadre de la série Emergents II – création de Passages, d’Alexandre David, pour trompette et électronique, et performance de Laki encore.

Elle jouera également lors de l’événement Baie Vitrée #5 – improvisation avec Ida Toninato et Alain Lefevbre, organisé par Tour de Bras le 2 avril.

Conclusion

Benjamin J. Allard a donné des nouvelles de sa lettre Pour une meilleure représentation des arts visuels à Radio-Canada.

Vous avez jusqu’au 20 février pour envoyer vos commentaires par rapport à Radio-Canada au CRTC. Apprenez-en davantage grâce à cet évènement Facebook.

No. 70 — 13 janvier 2020

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Éditorial

Un extrait de Walter Benjamin, L’œuvre d’art à l’époque de sa reproduction mécanisée.

Entrevue

Nous recevions la chorégraphe Virginie Brunelle sous l’invitation d’Élisabeth Recurt.

Vous pouvez en apprendre davantage sur Virginie Brunelle grâce à son site Internet.

Son prochain spectacle, Les corps avalés, sera présenté du 26 au 29 février 2020. Vous trouverez tous les renseignements nécessaires sur le site Internet de Danse Danse.

Chroniques

Nous découvrons Arprim, centre d’essai en art imprimé, grâce à Marie-Pier Bocquet, coordonnatrice à la programmation du centre. Ce segment a été proposé par le regroupement des centres d’artistes autogérés du Québec.

Vous pouvez en apprendre davantage sur Arprim par leur site Internet.

Lors de l’entrevue, nous avons discuté des expositions de Peio Eliceiry, Marlène Renaud-B. et de Mathieu Grenier.

Il reste des affiches crées par Sophie Jodoin lors de la dernière édition de À l’affiche, vous pouvez l’acheter sur leur site Internet.

Vous pouvez suivre Le Magasin d’Arprim sur Facebook et en apprendre davantage sur le Prix Albert-Dumouchel pour la relève sur leur site Internet.

Milan Bernard, La Commission Politique, une chronique qui propose un survol de pratiques artistiques contemporaines et actuelles qui croisent les manifestations politiques.

Voici les références des sujets dont nous avons traité lors de cette chronique :

Yves Doyon. La question de l’art vidéo. Esse Arts + Opinions.

Lucille Beaudry. L’art et le féminisme au Québecaspects d’une contribution à l’interrogation politique. Recherches Féministes.

Hito Steyerl: This is the future, jusqu’au 23 février au Musée des Beaux-Arts de l’Ontario.
Vous pouvez trouver certains films d’Hito Steyerl sur le site Ubu Web.

Aperçu de whiteonwhite:algorithmicnoir, d’Eve Sussman et Rufus Corporation.

Commissariat sonore

An-Laurence Higgins.

An-Laurence est une guitariste basée à Montréal œuvrant en musique nouvelle, expérimentale et multimédia. Pour son commissariat, elle choisit trois pièces où se mélangent sons instrumentaux et électroniques – manipulation, synthèse, traitement en direct – de trois compositrices oeuvrant au Canada. Amy Brandon (Île-du-Prince- Édouard/Nouvelle-Écosse), Thais Montanari (Brésil/MTL) et Lieke van der Voort (Hollande/Toronto).

Artificial Light
Amy Brandon
Album : Scavenger Guitare et électroniques
Année : 2016

La désintégration de la culture
Thais Montanari
Interprètes : Sara Constant, An-Laurence Higgins et Thais Montanari
Année : 2019

Athena
Kontraband Kollektif (Lieke van der Voort)
EP Atropos 
Année : 2018

No.57 — 23 septembre 2019

Entrevue

Nous recevons l’Artiste Jamie Ross dans le cadre d’un partenariat avec Momenta, la Biennale de l’image. Jamie Ross présente jusqu’au 12 octobre prochain une installation vidéographique Cate Hill à la Galerie B-312.

Momenta se déroule jusqu’au 13 octobre, pour connaître le programme, vous pouvez vous rendre sur le site de la Biennale : https://www.momentabiennale.com/

Vous pouvez en apprendre davantage sur la surveillance policière dans les lieux de cruising à Montréal grâce à cet article :
https://www.mcgilldaily.com/2018/11/this-is-no-longer-a-safe-place/

Vous pouvez retrouver les détails de l’oeuvre présentée par Jamie Ross à la Galerie B-312 sur le site de la biennale et de la Galerie également :

https://www.momentabiennale.com/artist/jamie-ross/

http://galerieb312.ca/programmation/maggie-groat-jamie-ross-entites-vivantes-living-entities 

Vous pouvez également consulter le site internet de Jamie Ross pour connaître son oeuvre :

http://jamieross.org/

Il se produira également au Centre Clark ainsi qu’à l’occasion de l’évènement Pop Art Montréal :

https://popmontreal.com/fr/actualites/detail/art-pop/art-pop-2019-devoile-sa-programmation/

https://centreclark.com/fr/exposition/club-gemini/

Chroniques

Elisabeth Recurt continue sa chronique sur l’art public, aujourd’hui elle aborde la question de l’art public éphémère avec Lise Lamarche, historienne de l’art et sociologue, professeur à l’Université de Montréal et Nicolas Mavrikakis, critique d’Art et professeur en histoire de l’art au collège Jean-de-Brébeuf.

Le Devoir a consacré un article au projet de rétrospective de l’oeuvre de Pierre Ayot avec la restitution de la Croix du Mont-Royal :

https://www.ledevoir.com/culture/495134/galerie-b-312-porter-fierement-sa-croix

Odile Joron nous parle également d’art public éphèmère avec un angle différent, celui développé par les Charter Poets qui performent uniquement dans l’espace public.

Pour en savoir plus sur le projet Moving the charter de l’artiste Karen ellen Spencer qui a eu lieu en 2018, vous pouvez consulter le site de la Galerie Dare-Dare :

http://dare-dare.org/fr/evenements/movin-the-charter2

Segment création

Nous recevons un duo nommé Prinkipissa et leurs ritournelles minimalistes présenté par Sonja Zlatanova.

Commissariat sonore

Il nous est proposé par le duo Prinkipissa qui nous font découvrir des chansons qui habitent leur univers.

Song For John
John Lennon & Yoko Ono
Album : Unfinished Music No. 2.
Life with the Lions
Année : 1969

Reyhan
Kourosh Yaghmaei
Album : Gol-e Yakh
Année : 1991

La ballade de l’indifférence
Maria Violenza
Album: Scirocco
Année : 2018

108 Desires
Yasuaki Shimizu
Album : cinefil
Année : 2001

No. 52 — 22 juillet 2019

Entrevue

Cette semaine Charlotte Mercille s’est entretenue avec l’artiste Francine Savard pour discuter de son travail de graphiste plasticienne.

Ses œuvres sont actuellement présentes dans l’exposition Shapé à la Maison de la culture Janine Sutto jusqu’au 25 août. Vous trouverez plus de détails sur le site de la Vitrine.

Chroniques

Jean-Michel Quirion nous parle de l’exposition REPLIQUES | STATUER. Les figures du socle – Partie IV, du commissaire Emmanuel Galland.

Cette exposition est accessible au Centre d’exposition de l’Université de Montréal Pavillon de la Faculté de l’aménagement jusqu’au 14 septembre prochain. Vous pouvez consulter le site officiel du centre d’exposition.

Pour sa chronique sur l’art publique Elisabeth Recurt rend hommage à l’artiste défunt Louise Viger, connue pour son travail de sculpture.

Pour en connaître davantage sur la pratique de Louise Viger, vous pouvez visiter son site Internet.

Segment création

L’artiste Sarah Chouinard-Poirier nous offre Ritz Original Tylenol 325, un texte poétique audio comme acte à la fois de mémoire et de réactualisation du dessin (Sans titre) de l’artiste Annie Pootoogook. Un segment proposé par Mélissa Correia.

Pour en savoir plus sur la démarche de Sarah Chouinard-Poirier, vous pouvez consulter son site internet.

Commissariat sonore

Estelle Schorpp revêt le chapeau du commissaire sonore. Estelle une artiste sonore et compositrice française basée à Montréal. D’abord diplômé en arts plastiques aux Beaux-Arts de Paris, elle poursuit son parcours en intégrant une maîtrise en composition et en création sonore sous la direction de Nicolas Bernier.

Le rêve de Maneki-Neko
Estelle Schorpp
Année : 2019

Switched On
Manuella Blackburn
Année : 2011

L’oiseau RAI
Pierre Schaeffer
Année : 1950

No. 49 — 1 juillet 2019

Entrevue

Benjamin J. Allard s’entretient avec Yann Chateigné, commissaire de l’exposition Pensée Matérielle autour des archives de l’artiste Gordon Matta-Clark au Centre Canadien d’Architecture.

Pour en savoir plus sur cette exposition vous pouvez consulter le site internet de l’exposition CCA.

Pour en savoir plus sur l’oeuvre de Gordon Matta-Clark, un lien vers une autre exposition, qui a eu lieu au Jeu de Paume à Paris sur l’anarchitecture.

Chroniques

Pour sa chronique, Elisabeth Recurt reçoit l’artiste Yannick Pouliot.

Pour en savoir plus sur la démarche artistique de Yannick Pouliot, vous pouvez consulter les oeuvres qu’il a présenté dans le cadre d’Art Public.

Pour sa première chronique, Mathieu Robillard, chroniqueur en art imprimé, nous parlait de l’exposition Retailles, organisée par l’artiste en collage Virginie Maltais.

Pour s’informer sur cette exposition, vous pouvez visiter le site Internet de l’événement.

Pour en savoir plus sur les œuvres de Virginie Maltais, vous pouvez consulter le site personnel de l’artiste.

Segment création

Mathieu Lacroix, artiste multidisciplinaire, propose une création qui joue avec la vitrine du studio de CIBL autour d’images diapositives. Un segment organisé par Sonja Zlatanova.

Pour en savoir plus sur la démarche artistique de Mathieu Lacroix, vous pouvez consulter son site Internet.

Commissariat sonore

Le commissariat sonore est proposé par Sylvain Aubé autour de la maison de disque Tour de bras fondée par Eric Normand, artiste improvisateur.

Lignes
Eric Normand
Album : Mattempa
Maison de disque : Tour de bras
Année : 2016

Comment maigrir grâce à la guitare électrique
René Lussier et Robert Lepage accompagnés par le Quatuor Bozzini
Album : Chants et danses du monde inanimé (Vol. III) …with strings –
Maison de disque : Tour de bras
Année : 2016

Alaplasse
Xavier Charles (clarinette), Michel F Côté (batterie), Franz Hautzinger (trompette), Philippe Lauzier (clarinette basse), Eric Normand (basse électrique)
Album : Torche !
Maison de disque : Tour de bras
Année : 2017

Sharp-Eyes Gods
GGRIL (Grand Groupe Régional d’Improvisation Libérée)
Compositeur : John Butcher
Album : Façons
Maison de disque : Tour de bras
Année : 2019

No. 48 — 24 juin 2019

Entrevue

Benjamin J. Allard s’entretient avec Vivardy Boursiquot, président du conseil d’administration du centre d’artiste articule et Yen-Chao Lin, l’agente du programme d’équité du centre d’artiste La Centrale galerie Powerhouse, aussi membre du conseil d’administration d’articule.

Pour en savoir plus sur les centres donc nous avons parler et leurs programmation, nous vous invitons à visiter leurs sites Internet. Trouvez celui de La Centrale ici et celui d’articule ici.

Chroniques

Pour sa troisième chronique sur l’art public, Elisabeth Recurt nous parle des liens que l’œuvre d’art public tisse avec son environnement immédiat. Pour cela, elle invite à l’émission Michel de Broin, artiste sculpteur montréalais.

Vous pouvez consulter le site internet de Michel de Broin pour en connaître davantage sur ses activités.

En seconde chronique, Odile Joron invite à l’émission Nicholas Dawson, premier artiste en résidence du volet Écritures Publiques du centre d’artistes DARE-DARE. Il est présentement doctorant en études et pratiques des arts à l’UQAM.

Vous pouvez visiter le site Internet de Dare-Dare pour en apprendre davantage.

Segment création

L’autrice de poème Maude V. Veilleux lit un extrait tiré de son dernier recueil, Une sorte de lumière spéciale aux éditions de l’écrou. Un segment proposé par Melissa Correia.

Vous pouvez en apprendre davantage sur le site Internet des éditions de l’écrou.

Commissariat musical

Le commissariat musical est proposé par Simon Coovi-Sirois, artiste sonore établi à Montréal. Son travail s’intéresse principalement aux potentialités expressives et aux possibilités de structuration de lamatière pouvant émerger de l’utilisation de procédés algorithmiques. Ses oeuvres se déploient principalement par le son et la lumière, sous la forme de performance et d’installation.

Thématique
Les oeuvres de Simon Coovi-Sirois se rejoignent par l’appel à une hybridité stylistique, faisant à la fois écho aux musiques électroacoustiques qu’à des éléments de culture populaire et de musique électronique.

Chorus
Holly Herndon
Album : Platform
Maison de disque : 4AD
Année : 2015

Vapid Luxury
Myriam Bleau
Album : Lumens & Profits
Maison de disque : Where To Now? Records
Année : 2019

nttaoiucdr
Simon Coovi-Sirois
Performance audiovisuelle pour 1 performeur, 1 ordinateur et 1 projecteur
Année : 2019

No. 46 — 10 juin 2019

Entrevue

Benjamin J. Allard s’entretient avec l’artiste Jo-Anne Balcaen qui expose sa série Dynamique Interne, au centre d’art contemporain OPTICA des photographies accompagnées d’une trame sonore.

Pour en savoir plus sur cette exposition, vous pouvez consulter le site Internet d’OPTICA. L’exposition se terminera le 15 juin prochain.

Vous pouvez également consulter le site de Jo-Anne Balcaen, vous y trouverez un portefolio ainsi que ses actualité srécentes.

Chroniques

Pour sa seconde chronique sur l’Art public, Elisabeth Recurt nous entretient de la notion de la notion de « site specifique » ou « in situ ». Elle reçoit pour cela Véronique Rodriguez, professeure au Collège Ahuntsic et historienne de l’art.

Pour en savoir plus sur l’art public à Montréal, vous retrouverez beaucoup d’informations et une cartographie sur le site Art public Montréal .

Pascale Tremblay discute avec Michelle Lacombe du rôle de commissaire en situation d’exposition de performances ou d’œuvres performatives.

Segment création

Charles-Alexandre Grégoire et Francis Lachance propose une improvisation musicale et expérimentale. Un segment organisé par Sylvain Aubé.

Commissariat musical

Le commissariat musical est proposé par Sylvain Aubé et Charles-Alexandre Grégoire.

Undulating terrain
Robert Rich and B. Lustmord
Album : Stalker
Pour en savoir plus.

Little Bee Donut
Polysémique 
Album : Schizo
Année : 1996
Polysémique est un collectif de musique expérimentale actif depuis 20 ans. Cet extrait a été enregistré en 1996 à St-Eustache, littéralement dans le garage.

Anus Horribilis
Polysémique 
Album : Cobayes Humains
Année : 2007
Cette pièce a été enregistré en 2007 (il y a plus de 10 ans) par Charles-Alexandre, Martin et Francis sur une ferme biologique à St-Didace dans la région de Lanaudière, une région dans laquelle plusieurs membres de ce collectif habitent toujours

Divine Resignation pt.1
Legendary Pink Dots 
Album : Four days
Année : 1990
En savoir plus.